VDF Moncailleux 2017, Michel Guignier, Vauxrenard, Beaujolais
Plus de quarante ans de travail de la vigne et de vinification au compteur pour ce vigneron dévoué, qui accompagne avec une détermination et une assiduité folle ses vignes jusqu’aux vendanges. Pour Michel, la vinification n’est que l’aboutissement du travail quotidien de la vigne, et pas question pour lui d’intervenir plus qu’il n’en faut dans le processus. Ses vins sont donc des “purs jus” comme il les appelle, et transmettent sans fioritures toute l’énergie des gamays de ses coteaux, qui culminent jusqu'à plus de 500 mètres d’altitude sur la commune de Fleurie. Moncailleux est la plus "grosse" cuvée de Michel. Issue de ses plus beaux terroirs, elle connaît un élevage plus long en demi-muid et mérite également toujours d'être attendue plus longtemps. C'est un vin très abouti, un jus de framboise poivrée à la souplesse tannique soyeuse. Une fine et longue caresse gustative. N'hésitez pas à l'ouvrir une heure avant de le déguster, voire à le carafer pour lui permettre de s'ouvrir.
Plus de quarante ans de travail de la vigne et de vinification au compteur pour ce vigneron dévoué, qui accompagne avec une détermination et une assiduité folle ses vignes jusqu’aux vendanges. Pour Michel, la vinification n’est que l’aboutissement du travail quotidien de la vigne, et pas question pour lui d’intervenir plus qu’il n’en faut dans le processus. Ses vins sont donc des “purs jus” comme il les appelle, et transmettent sans fioritures toute l’énergie des gamays de ses coteaux, qui culminent jusqu'à plus de 500 mètres d’altitude sur la commune de Fleurie. Moncailleux est la plus "grosse" cuvée de Michel. Issue de ses plus beaux terroirs, elle connaît un élevage plus long en demi-muid et mérite également toujours d'être attendue plus longtemps. C'est un vin très abouti, un jus de framboise poivrée à la souplesse tannique soyeuse. Une fine et longue caresse gustative. N'hésitez pas à l'ouvrir une heure avant de le déguster, voire à le carafer pour lui permettre de s'ouvrir.
Plus de quarante ans de travail de la vigne et de vinification au compteur pour ce vigneron dévoué, qui accompagne avec une détermination et une assiduité folle ses vignes jusqu’aux vendanges. Pour Michel, la vinification n’est que l’aboutissement du travail quotidien de la vigne, et pas question pour lui d’intervenir plus qu’il n’en faut dans le processus. Ses vins sont donc des “purs jus” comme il les appelle, et transmettent sans fioritures toute l’énergie des gamays de ses coteaux, qui culminent jusqu'à plus de 500 mètres d’altitude sur la commune de Fleurie. Moncailleux est la plus "grosse" cuvée de Michel. Issue de ses plus beaux terroirs, elle connaît un élevage plus long en demi-muid et mérite également toujours d'être attendue plus longtemps. C'est un vin très abouti, un jus de framboise poivrée à la souplesse tannique soyeuse. Une fine et longue caresse gustative. N'hésitez pas à l'ouvrir une heure avant de le déguster, voire à le carafer pour lui permettre de s'ouvrir.